Tarte à la confiture (appelée aussi "crostata")
Comme le weekend dernier j’étais invitée à une soirée de dépendaison de crémaillère qui était en même une soirée d’anniversaire, j’ai eu envie de ramener un gâteau : depuis longtemps, j’avais en tête l’idée de réaliser une tarte à la confiture, une « crostata », comme on l’appelle en Italie. Concernant le parfum de la confiture, j’ai opté pour fraise : un classique que tout aime pour ne pas prendre de risques.
Je n’ai - hélas ! - pas eu l’occasion de goûter à ma tarte... mais le lendemain, j’ai reçu un sms enthousiaste : à ce qu’il semble, elle a eu un succès phénoménal !
En attendant de pouvoir en refaire cuire une version pour moi toute seule, voici donc la recette :
(Heureusement que j'avais songé au moins à prendre la tarte en photo avant de sortir de chez moi ! A défaut d'avoir pu y goûter, il me reste une "trace visuelle" que je peux partager avec vous !)
- 350g de farine
- 150g de beurre mou
- 1 gros œuf (ou 2 petits, mais alors diminuez légèrement le beurre)
- 125g de sucre
- 1 sachet de sucre vanillé
- 1 pot de confiture (fraise pour moi)
Préparez votre pâte sablée en commençant par battre l’œuf avec le sucre et le sucre vanillé. Ajoutez la farine d’un coup et mélangez de façon à obtenir quelque chose de « sableux ». Ajoutez le beurre coupé en petits morceaux et pétrissez le tout pour obtenir une pâte lisse. Laissez reposer au frigo au moins une heure.
Etalez les ¾ de votre pâte dans un moule à tarte et faites des petits trous avec la fourchette. Distribuez uniformément le contenu du pot de confiture sur toute la surface. Etalez à part la pâte sablée restante et utilisez un coupeau pour en découper quelques longues bandes : posez ces bandes sur votre tarte de sorte à former des « croisillons ».
Faites cuire à 200°C pendant 45 minutes (comme toujours, vous surveillerez en fonction de votre four).
Notes :
- Bien entendu, vous pouvez remplacer la confiture de fraise, par n’importe quel autre parfum ! La plupart des « crostate » en Italie sont soit à la confiture d’abricot, soit à la confiture de mûre.
- A ce que m’ont dit les « heureux veinards » qui y ont goûté, il ne faut surtout pas commencer avec cette tarte, car après on a du mal à s’arrêter !